L'histoire
Sainte-Marguerite
Située sur la Meurthe, en amont du confluent de la Fave, la petite ville de SAINTE-MARGUERITE fait fièrement remonter ses origines à Charlemagne.
L'empereur à la Barbe Fleurie, chassant dans la région, s'était si bien empêtré dans les marais qui occupaient alors la vallée de la Meurthe, qu'il dut s'en remettre au ciel pour trouver un gué, que l'on peut situer dans les parages de la cartonnerie. Parvenu enfin sur une rive solide, il y fit construire une chapelle qu'il dédia à Antioche, patronne d'une de ses filles qu'il aimait entre toutes. Quelques pierres de cette chapelle primitive, sculptées en forme de têtes, apparaissent encore, enchâssées dans les maçonneries de la tour de l'église actuelle.
Peu à peu, une population sédentaire se groupa autour de ce sanctuaire. Les marais furent asséchés, ne laissant d'autres traces que quelques noms de lieudits : le Faing, Les pierres du Faing. La forêt recula. Ours, loups et sangliers reculèrent avec elle. Champs et pâturages apparurent...
Plus tard, la Meurthe, assagie, rassemblée en un seul lit, fut mise au travail elle aussi. Pour le compte du chapitre de SAINT-DIE, elle fit tourner un moulin, tout près de l'église actuelle. L'industrialisation vint. Martinets et scieries s'ajoutèrent aux moulins. Et tous travaillaient, la paysan à ses champs, le meunier à son moulin, le sagard à son haut fer...
Avec le temps, nos lieux furent marqués par l'histoire. Flux et reflux de toutes les guerres passèrent. Révolution, Empire, 1914, 1940, 1944. Toujours détruit, toujours reconstruit. Pas une maison ancienne, pas un monument ancien, pas d'archives, la mairie ayant été incendiée en 1914. Seules la tour du clocher, souvent remaniée et la croix des morts, transférée en 1932 dans le nouveau cimetière, ont traversé les siècles.
Malgré les invasions, guerres ou épidémies, la population n'a cessé de s'accroître au fil du temps.
Sainte-Marguerite
Située sur la Meurthe, en amont du confluent de la Fave, la petite ville de SAINTE-MARGUERITE fait fièrement remonter ses origines à Charlemagne.
L'empereur à la Barbe Fleurie, chassant dans la région, s'était si bien empêtré dans les marais qui occupaient alors la vallée de la Meurthe, qu'il dut s'en remettre au ciel pour trouver un gué, que l'on peut situer dans les parages de la cartonnerie. Parvenu enfin sur une rive solide, il y fit construire une chapelle qu'il dédia à Antioche, patronne d'une de ses filles qu'il aimait entre toutes. Quelques pierres de cette chapelle primitive, sculptées en forme de têtes, apparaissent encore, enchâssées dans les maçonneries de la tour de l'église actuelle.
Peu à peu, une population sédentaire se groupa autour de ce sanctuaire. Les marais furent asséchés, ne laissant d'autres traces que quelques noms de lieudits : le Faing, Les pierres du Faing. La forêt recula. Ours, loups et sangliers reculèrent avec elle. Champs et pâturages apparurent...
Plus tard, la Meurthe, assagie, rassemblée en un seul lit, fut mise au travail elle aussi. Pour le compte du chapitre de SAINT-DIE, elle fit tourner un moulin, tout près de l'église actuelle. L'industrialisation vint. Martinets et scieries s'ajoutèrent aux moulins. Et tous travaillaient, la paysan à ses champs, le meunier à son moulin, le sagard à son haut fer...
Avec le temps, nos lieux furent marqués par l'histoire. Flux et reflux de toutes les guerres passèrent. Révolution, Empire, 1914, 1940, 1944. Toujours détruit, toujours reconstruit. Pas une maison ancienne, pas un monument ancien, pas d'archives, la mairie ayant été incendiée en 1914. Seules la tour du clocher, souvent remaniée et la croix des morts, transférée en 1932 dans le nouveau cimetière, ont traversé les siècles.
Malgré les invasions, guerres ou épidémies, la population n'a cessé de s'accroître au fil du temps.
Tableau de la Population de 1806 à 2019
Liste des maires qui se sont succédés à la tête de la commune depuis 1914.
André BOULANGEOT
De 2017 - Toujours en fonction
Roland BEDEL
De 1991 à 2017
Gaston GOUBELMANN
De 1977 à 1991
Louis FROMMER
De 1973 à 1977
Louis AUBRY
De 1953 à 1973
Marcel BONNEAUX
De 1945 à 1953
Constant RIOTTE
De 1932 à 1945
Eugène MUNIER
De 1929 à 1932
Gustave DURNER
De 1919 à 1929
Charles COLIN
De 1914 à 1919
André BOULANGEOT
De 2017 - Toujours en fonction
Roland BEDEL
De 1991 à 2017
Gaston GOUBELMANN
De 1977 à 1991
Louis FROMMER
De 1973 à 1977
Louis AUBRY
De 1953 à 1973
Marcel BONNEAUX
De 1945 à 1953
Constant RIOTTE
De 1932 à 1945
Eugène MUNIER
De 1929 à 1932
Gustave DURNER
De 1919 à 1929
Charles COLIN
De 1914 à 1919